mercredi 15 mai 2013




-ECHEC DES MANŒUVRES DE L’OPPOSITION EXTREMISTE POUR DECREDIBILISER LE PROCESSUS ELECTORAL


L’opposition extérieure à l’assemblée sortante craint les élections. Elle s’efforce de décrédibiliser le scrutin avant même qu’il ne se tienne.

Il s’agit pour elle de justifier à l’avance son échec électoral éventuel. On se souvient que Jean-Pierre Fabre avait déjà utilisé cette technique frauduleuse lors de la dernière présidentielle en se proclamant élu contre toute vérité.

Ces fraudeurs par anticipation ont tenté de répandre leurs contrevérités à Paris et à Bruxelles. Leurs interlocuteurs les ont rappelés à la vérité des urnes en les encourageant à se battre pour être élus plutôt que de hurler leur crainte de ne pas recueillir les suffrages populaires.

Il n’empêche : il faudra s’habituer à entendre leurs diffamations tout au long du processus électoral.

Leur dernière invention : prétendre que les cartes électorales sont illégales parce qu’elles sont signées par le prédécesseur de l’actuelle présidente de la CENI M. Tabiou au lieu d’être signées par Madame Aguigah.

Il s ‘agit tout simplement d’une ânerie juridique proférée par des ignorants.

Les institutions de l’Etat sont permanentes même si leurs titulaires changent. Est-ce qu’un certificat de naissance, un passeport ou un permis de conduire perdent leur validité parce que ceux qui les ont signés ont cessé leurs fonctions.

 Fallait-il détruire les cartes d’électeurs commandées par Tabiou au motif qu’il avait cessé ses fonctions ?

 La CENI demeure permanente alors même que ses membres changent.
Le principe est affirmé IN LIMINE dans la loi relative à la CENI.

« II est créé une Commission Electorale Nationale Indépendante
(CENI) chargée d'organiser et de superviser les consultations électorales
Et référendaires.
Elle est une institution permanente.
Elle a son siège à Lomé »

Tout le reste n’est que bavardage.

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